Justice au Canada: deux poids deux mesures
Selon le site du service correctionnel canadien ce jugement veut que «l’incarcération ne doit être utilisée qu’en dernier recours pour tous les délinquants canadiens traduits devant un tribunal et plus particulièrement pour les délinquants autochtones».
Ce qui revient à dire que l'on fait de la discrimination dite positive, parce qu'un individu est autochtone, alors qu'un blanc qui vit également dans une situation de pauvreté et de consommation et qui est arrêté sous les mêmes chefs d'accusations, ira sans aucun doute en prison pour une certaine période de temps.
Ce genre de sentence n'aidera sûrement pas la communauté autochtone, considérant qu'au Québec, il y en a encore plusieurs qui ont des préjugés défavorables envers eux, surtout quand il y a des routes bloquées, parce que les autochtones veulent revendiquer certains droits.